Le fondateur d'Ethereum, Vitalik Buterin, a récemment déclaré que les principaux réseaux Layer2 ont atteint la phase Stage1 (cycles d'entraînement limités), et l'accent sera mis sur la réalisation de la fonctionnalité "retrait rapide". Cet objectif est même plus important que d'atteindre le Stage2 (sans cycles d'entraînement). Cette décision stratégique repose sur des considérations profondes : la vitesse de retrait influence directement le coût de liquidité. Si le temps de retrait natif peut être réduit à moins d'une heure à court terme, l'objectif à moyen terme est de le réduire à 12 secondes, ce qui renforcera considérablement la position d'Ethereum L1 en tant que "plateforme par défaut pour l'émission d'actifs".
Pour atteindre cet objectif, l'écosystème Ethereum doit progressivement se débarrasser du mécanisme de preuve Optimistic largement utilisé actuellement, car son temps d'attente pour les retraits de plusieurs jours est devenu un goulot d'étranglement en matière d'efficacité. Avec l'évolution rapide de la technologie, la combinaison 2-of-3 de la preuve à connaissance nulle (ZK), du rollup optimiste (OP) et de l'environnement d'exécution de confiance (TEE) a déjà atteint un bon équilibre entre sécurité, rapidité et coût, ce qui fournit une base technique pour la réalisation de la fonctionnalité de retrait rapide.
Ce qui est encore plus excitant, c'est que l'objectif ultime d'Ethereum est de permettre le transfert "instantané" d'actifs natifs à travers les réseaux L2 via la couche L1, éliminant presque les délais. La logique de ce plan ambitieux est claire et puissante : d'abord résoudre les problèmes d'efficacité pour réduire les coûts d'exploitation de l'écosystème, puis utiliser de nouvelles technologies pour itérer et remplacer les anciennes solutions, et enfin ouvrir les canaux de circulation des actifs L2.
Si Ethereum parvient à réaliser ces objectifs, l'expérience utilisateur de Layer 2 connaîtra un saut qualitatif, ce qui pourrait provoquer une transformation des pratiques dans l'ensemble du secteur. Cette série d'initiatives peut être considérée comme un aménagement stratégique pour redéfinir l'écosystème blockchain, et si elle est mise en œuvre avec succès, elle renforcera considérablement la capacité du réseau Ethereum L1 à faire face à divers défis.
Avec ces développements, l'industrie est pleine d'attentes concernant l'avenir d'Ethereum. Les observateurs suivent de près l'avancement de ces plans, car ils pourraient avoir un impact profond sur l'ensemble du domaine des cryptomonnaies et de la blockchain. Cette innovation technologique dans l'écosystème Ethereum vise non seulement à améliorer sa compétitivité, mais pourrait également redéfinir les modèles opérationnels de la finance décentralisée.
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GateUser-a180694b
· 08-06 19:51
v trop réel hardcore
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ChainBrain
· 08-06 19:49
Juste dis à Vitalik Buterin de ne pas s'emballer.
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ImpermanentLossEnjoyer
· 08-06 19:48
Je fais mes devoirs ! OP est foutu.
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DefiPlaybook
· 08-06 19:36
ZK+OP+TEE cette vague est vraiment fluide, un expert expert.
Le fondateur d'Ethereum, Vitalik Buterin, a récemment déclaré que les principaux réseaux Layer2 ont atteint la phase Stage1 (cycles d'entraînement limités), et l'accent sera mis sur la réalisation de la fonctionnalité "retrait rapide". Cet objectif est même plus important que d'atteindre le Stage2 (sans cycles d'entraînement). Cette décision stratégique repose sur des considérations profondes : la vitesse de retrait influence directement le coût de liquidité. Si le temps de retrait natif peut être réduit à moins d'une heure à court terme, l'objectif à moyen terme est de le réduire à 12 secondes, ce qui renforcera considérablement la position d'Ethereum L1 en tant que "plateforme par défaut pour l'émission d'actifs".
Pour atteindre cet objectif, l'écosystème Ethereum doit progressivement se débarrasser du mécanisme de preuve Optimistic largement utilisé actuellement, car son temps d'attente pour les retraits de plusieurs jours est devenu un goulot d'étranglement en matière d'efficacité. Avec l'évolution rapide de la technologie, la combinaison 2-of-3 de la preuve à connaissance nulle (ZK), du rollup optimiste (OP) et de l'environnement d'exécution de confiance (TEE) a déjà atteint un bon équilibre entre sécurité, rapidité et coût, ce qui fournit une base technique pour la réalisation de la fonctionnalité de retrait rapide.
Ce qui est encore plus excitant, c'est que l'objectif ultime d'Ethereum est de permettre le transfert "instantané" d'actifs natifs à travers les réseaux L2 via la couche L1, éliminant presque les délais. La logique de ce plan ambitieux est claire et puissante : d'abord résoudre les problèmes d'efficacité pour réduire les coûts d'exploitation de l'écosystème, puis utiliser de nouvelles technologies pour itérer et remplacer les anciennes solutions, et enfin ouvrir les canaux de circulation des actifs L2.
Si Ethereum parvient à réaliser ces objectifs, l'expérience utilisateur de Layer 2 connaîtra un saut qualitatif, ce qui pourrait provoquer une transformation des pratiques dans l'ensemble du secteur. Cette série d'initiatives peut être considérée comme un aménagement stratégique pour redéfinir l'écosystème blockchain, et si elle est mise en œuvre avec succès, elle renforcera considérablement la capacité du réseau Ethereum L1 à faire face à divers défis.
Avec ces développements, l'industrie est pleine d'attentes concernant l'avenir d'Ethereum. Les observateurs suivent de près l'avancement de ces plans, car ils pourraient avoir un impact profond sur l'ensemble du domaine des cryptomonnaies et de la blockchain. Cette innovation technologique dans l'écosystème Ethereum vise non seulement à améliorer sa compétitivité, mais pourrait également redéfinir les modèles opérationnels de la finance décentralisée.