La société canadienne de médias sociaux Kik Interactive envisage de mettre fin aux opérations de son application de messagerie Kik. L'entreprise a envoyé des avis de licenciement à 70 employés israéliens. Le 24 septembre, le PDG de Kik Interactive, Ted Livingstone, a publié une déclaration annonçant la fermeture de l'application Kik et la réduction du nombre d'employés de l'entreprise à une équipe centrale de 19 personnes.
Depuis que la Securities and Exchange Commission des États-Unis (SEC) a accusé l'entreprise d'avoir effectué une émission de jetons de 100 millions de dollars sans enregistrement, Kik a été en train de contester légalement son jeton d'offre publique initiale. Steven Peikin, co-directeur de l'application des lois de la SEC, a déclaré qu'en vendant des jetons Kin, Kik "privait les investisseurs des informations légitimes qu'ils devraient recevoir et entravait leur capacité à prendre des décisions d'investissement éclairées."
Kik a été fondé en 2009 par quelques étudiants canadiens et a attiré l'attention d'institutions d'investissement réputées. En 2017, Kik a réalisé une première émission de jetons (ICO), levant des fonds allant jusqu'à 98 millions de dollars et émettant une monnaie virtuelle appelée Kin.
Cet événement a suscité une réflexion sur la relation entre les projets de startups blockchain et les organismes de réglementation, tout en mettant en évidence les défis réglementaires auxquels l'industrie des crypto-monnaies est confrontée.
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ForkLibertarian
· 08-04 14:02
C'est fini, c'est fini, la SEC est un démon.
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DefiPlaybook
· 08-04 12:12
Un autre projet a été sanctionné par la SEC et a fait un Rug Pull. Les pigeons sont en pause.
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DegenWhisperer
· 08-02 07:07
Un autre projet Web3 est mort.
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rekt_but_not_broke
· 08-01 17:02
C'est juste un piège pour gagner de l'argent.
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RektCoaster
· 08-01 16:50
La SEC sait vraiment comment créer des problèmes.
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AirdropChaser
· 08-01 16:49
SEC est probablement en colère de ne pas avoir fait de l'argent.
Kik en difficulté : pourrait fermer l'application et réduire ses effectifs à 19 personnes, les accusations de la SEC étant le déclencheur.
La société canadienne de médias sociaux Kik Interactive envisage de mettre fin aux opérations de son application de messagerie Kik. L'entreprise a envoyé des avis de licenciement à 70 employés israéliens. Le 24 septembre, le PDG de Kik Interactive, Ted Livingstone, a publié une déclaration annonçant la fermeture de l'application Kik et la réduction du nombre d'employés de l'entreprise à une équipe centrale de 19 personnes.
Depuis que la Securities and Exchange Commission des États-Unis (SEC) a accusé l'entreprise d'avoir effectué une émission de jetons de 100 millions de dollars sans enregistrement, Kik a été en train de contester légalement son jeton d'offre publique initiale. Steven Peikin, co-directeur de l'application des lois de la SEC, a déclaré qu'en vendant des jetons Kin, Kik "privait les investisseurs des informations légitimes qu'ils devraient recevoir et entravait leur capacité à prendre des décisions d'investissement éclairées."
Kik a été fondé en 2009 par quelques étudiants canadiens et a attiré l'attention d'institutions d'investissement réputées. En 2017, Kik a réalisé une première émission de jetons (ICO), levant des fonds allant jusqu'à 98 millions de dollars et émettant une monnaie virtuelle appelée Kin.
Cet événement a suscité une réflexion sur la relation entre les projets de startups blockchain et les organismes de réglementation, tout en mettant en évidence les défis réglementaires auxquels l'industrie des crypto-monnaies est confrontée.